Université populaire de désir d’avenir sur le travail

Cette université populaire est remarquable dans son organisation, par la diversité des regards mis en jeux et le diagnostique qu’elle pose. Je m’intéroge tout de même sur les réponse apporté. Le double rapport de force politique et syndicale s’est décomposé face à la liberté des flux financier et la restructuration des entreprises qui se pensaient avant comme des organisations productives (ayant pour but le profit) et qui se pensent maintenant  comme des noeuds de contrats et de breuvets, sous-traitant la production. Le rapport de force sur le capital ne peut plus s’exercer (il est mobile) et le rapport de force du travail est éclaté dans un grand nombre de petites entreprises sous-traitantes.

Il s’agit donc, il me semble, d’un problème structurel, qu’il faut donc traiter à ce niveau.

 

L’introduction par Ségolène Royal :

 

 

L’intervention d’Hélène Cixous, écrivain et philisophe :

 

L’intervention de Paul Moreira, journaliste et auteur du livre « Travailler à en mourir » :


Les interventions de Dominique Duval & Guy Eyermann, salariés de l’entreprise Fabris (Chatellerault) :

L’intervention d’Yvan du Roy, journaliste, auteur du livre « Orange Stressée » :

L’intervention d’Yves Perrot, chef d’Entreprise, Président du Centre des Jeunes Dirigeants Paris (CJD):

 

L’intervention d’Anna Sam, caissière de super-marché, auteur de « Les tribulations d’une caissière » :

L’intervention de Michel Gollac, sociologue du travail, Centre de recherche en économie et statistique (CREST) :

Les interventions du public  :
La conclusion et le résumé des propositions par Gaëtan Gorce, deputé de la Nièvre :